Murs blanches, tristes dictatures.
Si on peut dire qu’il y a quelque chose présent partout dans ces temps de crises et dettes, c’est la croyance à l’économie comme institution centrale pour le bien vivre des états. Comme si l’économie était quelque chose de sacré dont la santé constituirait le bien le plus intouchable. Comme si le discours de l’économie repoisait-il sur des lois universelles detachées des intérêts individuels. C’est incroyable comme il y des gens qui croient à sa imposition comme principe de vision dominant par ses lois dites universelles et rationelles. Dont le but final, il faut meme pas le dire, c’est toujours le bien-être comum.
Quel connerie.
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